Un Surelab SL-D3000 chez QUADRILASER
Quadrilaser s’est équipé dès 2007 de systèmes d’impression jet d’encre grand format d’Epson, a adopté le label Digigraphie en 2008, et a investi dans un des premiers Surelab SL-D3000 d’Epson dès sa sortie à la fin 2012.
QUADRILASER : son histoireL'activité photogravure d’alors s’est progressivement transformée en une entreprise spécialisée dans le traitement de l’image, de sa capture jusqu’à l’impression photo et le tirage d’art. Cette évolution est due à l’arrivée en 2007 de Régis Chevrinais, son nouveau propriétaire.
Régis Chevrinais, spécialiste des marchés graphiques (il s’en est occupé pendant 17 ans chez Xerox), ne s’en tient pas là puisqu’il dirige aussi une petite agence web (vidéos, sites, multimédia), plus une entreprise de publication, d’informatique éditoriale et de photogravure : APS Chromostyle à Tours. Il s’emploie à développer progressivement une synergie entre les trois entreprises pour certains produits (livres numériques).
Installée à la sortie d’Orléans, Quadrilaser emploie onze personnes (dont trois chromistes) et réalise un chiffre d’affaires de 900 000 euros. Outre la photogravure (beaux livres, publicité grande distribution), qui ne représente plus que 10% de son chiffre d’affaires, l’entreprise est aussi un studio de photos (publicité), une agence de création et de fabrication, un bureau conseil, et de plus en plus un imprimeur de photos et de tirages d’art.
Quadrilaser crée une activité nouvelle : le tirage photo« J’ai été dès le début très impressionné par la qualité, la fidélité et la finesse d’impression obtenues en impression jet d’encre », indique Régis Chevrinais pour expliquer son choix de créer et de développer une activité de tirages photographiques et de tirages d’art. Une activité qui apporte à son entreprise une clientèle diversifiée permettant de sortir de l’activité saisonnière de l’édition.
La stratégie de Quadrilaser dans ce domaine a été de travailler d’abord avec des photographes professionnels, puis de s’ouvrir auprès des clubs photo en organisant des sessions de formation autour de son offre, tout en s’appuyant sur l’expertise du traitement d’images, de la photo numérique, et de la numérisation, du studio photo.
Après avoir installé ses premières imprimantes d’épreuvage Epson Stylus Pro 11880 (64 pouces), 4880 (17 pouces), puis 9890 (44 pouces), Régis Chevrinais a choisi d'adopter le label haut de gamme Digigraphie, qui était très complémentaire de ce qu’il faisait déjà. « Une technologie très intéressante pour la qualité des supports, la durabilité des tirages », dit-il. « Positionnée haut de gamme, la Digigraphie a une cible élitiste », ajoute-t-il. D’où sa quête pour trouver un système d’impression permettant d’ouvrir davantage le marché du tirage photo. Ce qui explique son investissement en fin 2012 dans un Surelab SL-D3000.
Le choix du Surelab SL-D3000 pour toucher un public plus large« Aujourd’hui nous sommes très séduits par la qualité du jet d’encre Epson, car la restitution des couleurs est bluffante », dit Régis Chevrinais, qui ajoute « le côté très écologique - encres à base d’eau, cartouches recyclables, faible consommation électrique - par rapport aux technologies photographiques traditionnelles, est aussi très important pour nous ».
Pour développer la nouvelle activité de tirage photo et de tirage d’art, Régis Chevrinais a choisi dès le début de s’appuyer sur un seul constructeur : Epson. « Je cherche chez un fournisseur des moyens de disposer d’une vision de l’évolution du marché, pas seulement de la technologie. Tout l’investissement que nous avons fait en terme de connaissance marché, de construction d’une offre produit autour de la Digigraphie est récompensé car nous disposons maintenant d’une offre de produits plus large », explique-t-il. Et d’ajouter : « Une petite entreprise peut avoir sa propre stratégie de développement, mais n’a pas des services de recherche, de prospective marketing, pour développer tel ou tel domaine, comme en dispose un constructeur ». Pour conclure : « Quand j’ai vu qu’Epson se mettait dans l’optique du tirage photo. Je me suis dit que c’était un bon vecteur de développement de notre propre activité. Notre relation avec Epson est très satisfaisante tant aux niveaux des services, des équipements, que de la prospective. »
La simplicité de la mise en route du Surelab SL-D3000« Nous avons choisi la version complète du Surelab SL-D3000 avec les deux rouleaux d’alimentation papier, et le trieur » explique R. Chevrinais. L’installation du mini lab a été effectuée par Tetenal, le distributeur en France de cet équipement. Il est installé dans une salle indépendante ne nécessitant qu’une prise électrique standard et une prise réseau. Une fois mis en place le Surelab SL-D3000 est opérationnel tout de suite.
Invisible de l’extérieur, une petite imprimante matricielle installée dans le corps du Studio Lab SL-D3000 permet d’imprimer des informations sur le dos des photos, afin de les identifier. Ce qui est très utile pour classer les photos qui sortent via le trieur, ainsi que pour les photographes scolaires.
« Une fois le mini lab prêt à produire, nous avons travaillé avec un premier photographe professionnel pour caler les tirages des photos. Il fallait qu’il puisse voir comment la dynamique de ses fichiers était rendue par le Surelab. Avant de collaborer avec nous, il accentuait le contraste de ses photos pour obtenir un rendu satisfaisant. Maintenant cela n’est plus nécessaire grace à la qualité de rendu des images produites par le Surelab », explique Régis Chevrinais.
« Nous utilisons la plupart du temps du papier brillant dans des laizes différentes. Nous imprimons beaucoup de formats intermédiaires comme les 13 x 18 cm, 15 x 21 cm, ou 20 x 30 cm, mais aussi des panoramiques (jusqu’à 1,2 m de long). « Le logiciel en amont est très bien fait. C’est le même univers que celui des laboratoires argentiques, où j’ai travaillé » explique Clara, responsable du Surelab SL-D3000 . Tous les équipements sont éteints le soir et rallumés le matin. Ce mini lab nécessite peu d'entretien et est doté d'une procédure de nettoyage automatique au démarrage qui ne prend que quelques dizaines de minutes, et le soir Clara doit juste nettoyer manuellement les déchets de coupes par exemple. « Par sécurité nous avons toujours un jeu de cartouches d’encre et plusieurs rouleaux de papiers d’avance dans les trois supports pour le SureLab (lustré, brillant, mat) » indique Régis Chevrinais.
Le Surelab SL-D3000 complète les offres grand format et Digigraphie« Nous sommes partis de zéro dans le secteur de l’impression photo. Pour réussir, nous avons misé sur la qualité et le conseil », rappelle Régis Chevrinais qui explique: « Le SureLab permet de proposer des prix attractifs. C’est un point d’entrée avec une offre de trois supports différents et des formats variés jusqu’au 30 x 45 cm. On peut ensuite proposer des supports plus haut de gamme en passant sur les grands formats et la Digigraphie. On peut offrir ainsi une large gamme de produits ». Quadrilaser sait traiter la colorimétrie des photos, les corrections d’images, les fichiers Raw, la numérisation (opaques et transparents).
Parmi les autres sujets d’intérêts de Régis Chevrinais pour le futur on peut citer le tirage à la demande de photos publiées dans les livres photo, l’élaboration d’une galerie virtuelle de photographes, et l’impression par sublimation : textile mais aussi pour la communication par l'objet. Produits qu'Epson propose à son catalogue.
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Key facts
- Simplicité d'usage Ecologique Dynamique des images Faible coût d'exploitation Haute productivité Diversité des formats photo